Comité de Course à escadre CM2 St Guénolé, me recevez-vous ?

Hello Noppy et JPGBRETON.

Ce que je redoutais vient d'arriver, trop de parrains. Vous êtes trop forts!

Jpgbreton tenait la corde, et s'était déjà proposé par mail, effectivement je l'ai un peu grillé sur le bleu (désolé), je t'attribue le piratebeige.

Noppy un grand merci à toi, j'ai bien reçu ton mail mais du coup je vais prendre dans l'ordre d'arrivée. Acceptes-tu le statut de parrain polyvalent. N'hésite pas à envoyer tes conseils au bateau qui te parait en avoir besoin.

Merci à tous. On est au complet.
C'est parti.

Marc

TeamCM2StGuénolé a écrit:

Hello Noppy et JPGBRETON.

Ce que je redoutais vient d'arriver, trop de parrains. Vous êtes trop forts!

Jpgbreton tenait la corde, et s'était déjà proposé par mail, effectivement je l'ai un peu grillé sur le bleu (désolé), je t'attribue le piratebeige.

Noppy un grand merci à toi, j'ai bien reçu ton mail mais du coup je vais prendre dans l'ordre d'arrivée. Acceptes-tu le statut de parrain polyvalent. N'hésite pas à envoyer tes conseils au bateau qui te parait en avoir besoin.

Merci à tous. On est au complet.
C'est parti.

Marc

bonjour
dommage je n'ai pas été assez rapide
Pourquoi pas le rôle de polyvalent si un de mes petits camarades se trouve avoir un empêchement, j'accepte volontier
Jean-Jacques sur noppy

TeamCM2StGuénolé a écrit:

Hello Noppy et JPGBRETON.

Ce que je redoutais vient d'arriver, trop de parrains. Vous êtes trop forts!

Jpgbreton tenait la corde, et s'était déjà proposé par mail, effectivement je l'ai un peu grillé sur le bleu (désolé), je t'attribue le piratebeige.

Noppy un grand merci à toi, j'ai bien reçu ton mail mais du coup je vais prendre dans l'ordre d'arrivée. Acceptes-tu le statut de parrain polyvalent. N'hésite pas à envoyer tes conseils au bateau qui te parait en avoir besoin.

Merci à tous. On est au complet.
C'est parti.

Marc

bien que je ne soit finalement pas parrain, un petit conseil pour piratebeige (j'étais en train d'en préparer un quand est arrivé le message que j'avais été recalé au concours )
Ils ou elles ont intérêt à mettre le cap plein sud, au 180°, pour négocier au mieux la zone de calme qui est en train de se développer au large du Brésil
Jean-Jacques sur noppy

[quote="noppy"]

TeamCM2StGuénolé a écrit:

Hello Noppy et JPGBRETON.

Ce que je redoutais vient d'arriver, trop de parrains. Vous êtes trop forts!

Jpgbreton tenait la corde, et s'était déjà proposé par mail, effectivement je l'ai un peu grillé sur le bleu (désolé), je t'attribue le piratebeige.

Noppy un grand merci à toi, j'ai bien reçu ton mail mais du coup je vais prendre dans l'ordre d'arrivée. Acceptes-tu le statut de parrain polyvalent. N'hésite pas à envoyer tes conseils au bateau qui te parait en avoir besoin.

Merci à tous. On est au complet.
C'est parti.

Marc

AVIS A TOUS LES PARRAINS
Ayant été recalé au concours des parrains (arrivé 11ème pour 10 places), Marc, le maître (dont je n'ose imaginer ce qu'il a pu penser de la faute de français faite lors de l'un de mes derniers messages ) m'a bombardé parrain polyvalent pouvant intervenir sur les 10 bateaux
Je ne conçoit pas ce rôle de "volant" (bien que n'étant pas hollandais ) en donnant des conseils à tout va, d'autant plus que si ils sont différents de ceux de leur parrain, ces pauvres mini pirates ne sauront plus où donner du gouvernail
Je pense par contre que si l'un d'entre vous ne peut assurer son rôle pendant un certain temps (voyage dans le désert de Gobi, panne informatique, venue de la belle-mère,...) il n'aura qu'a me le signaler sur ce forum ou en MP pour que je prenne le relai le temps nécessaire.
Cela me semble un bon fonctionnement

Jean-Jacques sur noppy

Je pense que mes Pirates "l'Orange" va être dans la mouise dans les prochaines heures et prochains jours

Je demande l'analyse de l'ami Jean-Jacques sur Noppy   

++

BIGOOD1 2.0 a écrit:

Je pense que mes Pirates "l'Orange" va être dans la mouise dans les prochaines heures et prochains jours

Je demande l'analyse de l'ami Jean-Jacques sur Noppy   

++

bonjour
Effectivement la situation de pirate orange n'est pas terrible
la meilleure(?) solution est de se rapprocher du Brésil en se mettant au vent arrière, avec un angle avec le vent de 160° (cela devrait correspondre à un cap de 270, puis de laisser leur bateau venir doucement vers le sud pendant les 48h à venir. faire attention que ce soit le wind angle qui soit en fonction (bouton en jaune, et non le cap (expérience personnelle assez fréquente )
On verra après
bonne chance
Jean-Jacques sur noppy

ps: ce serait sympa si on connaissait les prénoms, et garçon ou fille quand le prénom ne permet pas forcement de savoir (Dominique....) des bateaux pirates

Aux parrains pirates

En réponse à la demande de Noppy, voici la flotte et les équipages.

Aujourd'hui, nous avons travaillé sur le problème que pose cet anticyclone pour bon nombre de bateaux.
Les enfants ont bien compris que le choix Est était compliqué. La vision à 36/48h leur à permis d'entrevoir la solution par l'Ouest avec de la patience. Nous avons ensuite lu le mail de Jean-Jacques (Noppy) qui nous a confirmé notre choix.

On a aussi travaillé sur les allures (cf blog).
L'utilisation et la compréhension du wind angle reste pour l'instant très complexe pour eux. Il faut être sûr de sa météo (donc penser à regarder plus loin, ça ça vient), calculer l'angle au vent (sans le confondre avec le cap (ouille les angles c'est pour le collège mais bon.) et rester vigilent ( ). On le teste avec deux bateaux et on verra.

Les enfants sont très intéressés par toutes les infos que vous leur apportez (tableaux, conseils, conversions, tourisme...).
Je garde certains documents en copie pour moi pour les exploiter à l'occasion avec eux (choix de voiles, vitesse et angle).
Le calculateur de VMG sera abordé dans des conditions plus faciles (à l'ordinateur s'entend) de navigation après le Cap de BE.
Merci aussi à titre personnel, j'apprends plein de choses.

Qui nous fait un petit topo sur Sainte Hélène et son résident célèbre ?

A bientôt à tous.

Marc

jpgbreton a écrit:

Solution de facilité. Je ne suis pas très calé en histoire. Un premier aperçu sur Saint Hélène. Bonne idée cette liste des équipages pirates.

Saint Hélène et Napoléoon

De Goven à Saint-Hélène

bonjour
Il y a dans les liens données par jpbreton un information que peu connaissent, et moi le premier: il y a, sur l'île de Saint Hélène, un petit bout de la France, d'une superficie de 14 hectares, où sont situés les bâtiments où Napoléon 1er a vécu!

Jean-jacques

Salut à tous les pirates !
Pour ma part, rien sur Ste Hélène, mais un petit topo en préparation sur le Cap de Bonne Espérance, quand le gros de votre troupe ( maintenant au large du Brésil ) s'en approchera.
Bon vent !

Bonjour à tous,

Ci-joint un historique de Ste Hélène vu sur le site du vendée globe.

Bonne journée et bon vent à tous !!!

Philippe "Blackmore's rainbow"

[i]Par 15° 56’ Sud et 5° 42’ Ouest, l’île de Sainte Hélène qui ne s’étend que sur 122 km², a vraiment été trouvée par hasard ! À près de 2 000 kilomètres des côtes africaines et à plus de 3 000 kilomètres du Brésil, en plein cœur de hautes pressions qui génèrent calmes et brises volages, ce caillou désormais territoire d’outre-mer britannique, n’était en effet pas très visible à l’horizon, mais lors de la troisième expédition portugaise vers les Indes, le capitaine João da Nova découvrit d’abord l’île d’Ascension (1501) puis celle de Sainte Hélène (21 mai 1502) au milieu de nulle part !
Abordant les rives sans abri de ce relief inhabité, il fit construire une chapelle et quelques maisons qui servirent de relais lors des voyages commerciaux entre l’Europe et l’Asie. La découverte de cette île isolée a contribué à orienter les routes maritimes car les Portugais y introduisirent des chèvres et y plantèrent des citrons : elle devint une escale technique pour se réapprovisionner en eau douce et pour renouveler les vivres fraîches, en particulier en agrumes qui, grâce à leur concentration en vitamine C, permettaient de réduire les risques de scorbut, une maladie qui décimait les équipages de ces longs courriers.
En 1588, Sir Thomas Cavendish est le premier Britannique à y poser le pied lors de son premier périple autour du monde, le troisième réalisé après celui de Fernando Magellan (1519-1522) et celui de Francis Drake (1577-1580). À bord de Desire, ce mercenaire corsaire suivait les traces de son prédécesseur en brûlant trois villes édifiées par les Espagnols et en capturant treize navires chargés d’or pour le compte d’Elisabeth d’Angleterre. La découverte de Sainte-Hélène par les Anglais permit à la flotte de Sa Majesté d’y faire escale pour attaquer les caravelles portugaises de retour de la route des Indes… En 1592, le roi Philippe II d’Espagne ordonna à sa flotte venant de Goa de ne plus faire le détour par Sainte-Hélène, ce qui laissa carte blanche aux Hollandais pour en prendre possession en 1633. Mais ils ne colonisèrent pas vraiment cette île et ils l’abandonnèrent au profit de Cape Town en Afrique du Sud.
La Compagnie anglaise des Indes Orientales décida de fortifier la place et d’y débarquer des cultivateurs en 1657 sous la gouvernance de Richard Cromwell, puis la flotte du capitaine John Dutton y aménagea des fortifications qui, lors de la restauration de la monarchie en 1660, prirent le nom de James Fort tandis que la ville attenante se nomma Jamestown. Et ce point stratégique devint le lieu de plusieurs combats puisque la Compagnie Hollandaise des Indes Orientales en prit possession à Noël 1672, forçant le gouverneur Beale à faire route sur le Brésil pour s’échapper. Ce dernier en reprit le contrôle en mai 1673 et y installa une garnison de 250 soldats tandis que Charles II déclara l’île de Sainte-Hélène « partie de l’Angleterre, au même titre que Greenwich Est est inclus dans le Comté du Kent ! ». Ne se situant pas sur « l’autoroute des alizés », ce caillou volcanique resta quelque peu délaissé et en sus, fut terriblement ravagé par les chèvres qui dévastèrent les forêts et les cultures…
De l’Empereur au Roi…
Sainte-Hélène devint célèbre lorsque, après sa défaite à Waterloo le 18 juin 1815, Napoléon y fut exilé par les Britanniques. L’Empereur qui avait réussi à s’échapper de l’île d’Elbe, ne pouvait plus être en contact avec ses partisans, surtout que les Britanniques revendiquèrent à cette occasion, l’île « voisine » d’Ascension pour y installer une garnison navale… Décédé le 5 mai 1821 dans sa demeure de Longwood House, dans des conditions encore mystérieuses puisque l’hypothèse d’un empoisonnement reste en suspens, Bonaparte fut inhumé le 9 mai dans la vallée du Tombeau sous l’autorité du gouverneur sir Hudson Lowe. Le roi Louis-Philippe obtint la restitution des cendres qui furent rapatriées en France et conservées aux Invalides. Napoléon III acquit en 1858, la dernière demeure de son ancêtre et la vallée du Tombeau, gérées depuis par le Ministère français des Affaires Etrangères.
Le roi Zoulou Dinuzulu kaCetshwayo succéda à l’Empereur en y étant exilé pendant sept ans à partir de 1890. Puis lors de la Seconde Guerre des Boers (1899-1902), l’armée britannique transforma l’île en centre de détention où plus de 5 000 prisonniers y furent déportés. Sans réel port abrité, les 4 200 habitants sont toujours très isolés avec un seul navire britannique, RMS St Helena qui assure le courrier et l’approvisionnement régulier avec le port de Cape Town. Un aéroport a toutefois été construit mais les difficultés d’atterrissage n’ont pas encore permis de l’inaugurer et de proposer des vols réguliers au départ de l’Afrique du Sud...
Le pendant des Açores
Mais en terme météorologique, Sainte-Hélène est renommée dans l’hémisphère Sud tout autant que les Açores le sont dans l’Atlantique Nord ! À cette île australe et à cet archipel septentrional, sont en effet associés des anticyclones, centres d’action de hautes pressions relativement stables toute l’année. Situés dans la zone intertropicale, leurs positionnements varient relativement peu selon les saisons mais fluctuent au fil des jours en fonction du passage des dépressions qui les poussent, les compressent, les décalent, les scindent parfois en deux parties… Mais si l’anticyclone des Açores est plus « volatile » que son pendant austral de Sainte Hélène, cela est dû à la configuration du relief terrestre qui les entoure mais aussi à l’importance de la calotte glaciaire des pôles Nord et Sud.
Les différences de pression sont en effet à l’origine dues au contraste thermique qui marque le froid polaire et le chaud équatorial. Comme la Terre tourne sur elle-même, elle entraîne son atmosphère adjacente et ce mouvement, sous l’influence de la force de Coriolis (déviation d’une masse en mouvement vers la droite dans l’hémisphère Nord, vers la gauche dans l’hémisphère Sud), provoque un brassage des masses d’air chaudes et froides qui tendent à lisser la température du globe grâce à ces échanges thermiques entre dépressions et anticyclones.
Un centre très fluctuant
Ainsi, l’anticyclone de Sainte-Hélène génère un régime d’alizés qui tourne dans le sens contraire des aiguilles d’une montre autour de cette île volcanique qui en marque approximativement le centre. Le flux de Sud le long de l’Afrique (Namibie, Angola) s’oriente au Sud-Est dans le golfe de Guinée et sous le Pot au Noir, puis tourne au secteur Est du côté du Brésil pour devenir Nord-Ouest au niveau de l’île de Trindade et Ouest sur les 40èmes ! Cette vaste circulation imposait donc aux navigateurs venant d’Europe pour aller aux Indes (ou partant autour du monde), de contourner ces hautes pressions très largement à l’Ouest pour ne pas s’enferrer dans les calmes qui règnent en son centre.

[quote="TeamCM2StGuénolé"]Aux parrains pirates



Aujourd'hui, nous avons travaillé sur le problème que pose cet anticyclone pour bon nombre de bateaux.

Marc

bonjour
je vais essayer de vous montrer les difficultés de cet anticyclone des Açores
En premier lieu une carte prise hier soir montrant les positions



En rose vous avez la route que j'ai parcouru, qui fait un grand détour, mais qui m'a permis d'aller plus vite
Le tas de point c'est les pirates, qui sont dans la bonne direction, même s'il y a quelques zigzag
Et le point rouge, c'est un concurrent qui a essayé de longer l'Afrique. Comme vous pouvez le voir ce n'est pas la bonne solution
Mais ce détour a une histoire: il s’appelle la volta, et a été trouve par les navigateurs portugais au 15ème siècle. Avant on ne naviguait que le long des cotes. Mais les portugais, grands navigateurs,et qui faisaient du commerce avec l'Afrique, on d'abord trouvé la petite volta, qui en faisant un détour, leur permettait de revenir plus vite dans leur pays. Puis à la fin du 15ème siècle, ils ont trouvé la grande volta, qui permettait d'aller plus vite en évitant les vents défavorables, pour passer le cap de Bonne Espérance, le bout de l'Afrique; Cela a ouvert la voie pour la découverte du monde entier, par Vasco de Gama au départ
Voilà une carte qui le montre bien:



D'où l'intérêt pour vous, pirates de toutes les couleurs de bien aller vers l'ouest
Jean-Jacques sur noppy

Eh bien, beaucoup de lectures à exploiter pour Marc et ses pirates !
Un grand merci à Jean-Jacques de Noppy pour ses explications.
Mon topo sur le Cap De Bonne Espérance est prêt. Je le livre au maître.
A charge pour lui d'en faire l'usage qu'il souhaite.

Pendant que la Bretagne se bat contre le roi de France pour garder son indépendance, le royaume du Portugal cherche à commercer par voie de mer ; il établit plusieurs comptoirs le long de la côte africaine.
Mais, en ce milieu du 15ème siècle, on ne connaît rien au-delà du Cap Chaunar ou Cap Noun ( 28°47’Nord, Maroc actuel ) que les Portugais baptisent « Cabo de Nao » Cap du Non, avec ce dicton : « Qui passe le Cap du Non, reviendra ou non ».  Plus au sud, on imagine une « mer des ténèbres » avec de supposés monstres marins.
Une avancée majeure arrive avec l’utilisation d’un bateau capable de « serrer » le vent, mieux qu’avant : la caravelle.
La côte du Sénégal est atteinte en 1444.
A la fin de ce 15ème siècle, un navigateur portugais : Bartolomeu Dias, part en expédition vers le sud avec 2 caravelles. En aoùt 1487, il longe le Golfe de Guinée ( à peu près à l’équateur ). A Noël, il mouille dans une petite baie située au 27°Sud            ( actuelle Namibie ). Il continue vers le sud.
Au début de l’année 1488, il rencontre une violente tempête pendant 13 jours où il va dériver. Celle-ci terminée, Dias « fait de l’est » pour retrouver la côte.
A son grand étonnement, il ne trouve plus de terre.
Il finit par conclure qu’il a passé « un cap » au sud de l’Afrique.
Sans le savoir, il navigue à présent dans l’Océan Indien.
Cap au nord où il retrouve enfin la terre dans une baie qu’il baptise : « Baie de St Blaise » ( saint du jour ; actuelle Mossel Bay ).
Il veut continuer à explorer ces rivages inconnus, mais son équipage refuse d’aller plus loin. Il fait quand même ériger une colonne de pierre (« padrao ») qui marque son passage. ( ce padrao sera retrouvé lors de fouilles en 1938 ).
Les bateaux repartent donc, ouest-nord-ouest, et découvrent alors ce cap qu’ils baptisent « Cap des Tempêtes » - le bien nommé ! ( 34°21’30’’Sud ; 18°28’33’’Est )
Ce n’est qu’au retour au Portugal que le roi Jean II le rebaptisera « Cap de Bonne Espérance », dans l’espoir de fructueux échanges commerciaux futurs.

Notes : la terre la plus au sud de l’Afrique est le Cap des Aiguilles, 150 km plus à l’est.
La ville du Cap en tire son nom ( fondée en 1652 par les Hollandais ).

Cartes : 1) Les déplacements probables des caravelles de Dias
2) Détails de la côte avec les noms des caps et de la baie
3) Une caravelle portugaise
4) Carte datant de 1489 avec, pour la première fois, le passage sud de l’Afrique

Petite réflexion sur leur navigation : regardez les vents courants le long de l’Afrique.
Si la « descente » jusqu’à l’équateur a dû être assez facile, combien plus ardue a dû être la suite vers le cap ( et 13 jours de tempête pour terminer ! ).
( regardez notre amie suisse « Last » qui se bat face aux vents contraires dans le Golfe de Guinée…)

Merci Jean-Pierre, Philippe, Jean-Jacques et Daniel pour vos dossiers et votre travail.
Croyez bien que je les exploiterai en classe avec les enfants.
Nous avons un tableau avec vidéo-projecteur, je peux projeter directement la page de forum en classe.
A bientôt.

PS pour Jean-Paul: Effectivement les bleus n'ont pas pris l'option à l'Est qui s'ouvrait. Je n'avais pas lu ton mail de ce matin pour le débriefer avec eux (pas toujours facile d'être réactif). La classe est restée sur l'idée de contourner par l'Ouest... et les bleu sont partis là dessus.
Là c'est mercredi (hé oui!) donc vogue le bateau au cap Sud-ouest, suite demain.

PS pour tout le monde: En dehors des matinées et après-midis de classe (off lundi am et mercredi am et WE) les enfants ne peuvent avoir les messages. Ce qui crée parfois des coupures de communication. Ils sont censés surveiller leurs bateaux de chez eux... alors si on file droit sur un récif un mercredi midi, au choix, priez, fermez les yeux (ou un seul ) ou sautez à l'eau.

A bientôt.
Marc

Message de LAPIN IV
Je n'arrive pas à rentrer en contact par le blog de la classe.
J'essaye par ce canal, quelqu'un en veille radio pourra faire peut-être faire passer plus loin.

Message urgent à Piraterose

Salut les mousses
Si vous continuez sur votre cap actuel, au 153° vous allez sortir du flux de vent. remontez votre cap plus à l'Est.
Entre 100° et 110°

Restez vigilantes

Bon vent

Manu

jpgbreton a écrit:

Un lapin sur un bateau ! Tu m'étonnes que tu n'arrives pas à communiquer ! Bon, si tu veux leur envoyer des conseils, tu peux utiliser leur adresse mail :

teamcm2stguenole.oceanvirtuel@laposte.net

Il faut préciser pour nos pirates multicolores, que le "cousin du lièvre" est totalement interdit sur un bateau: pas le droit de prononcer son nom, d''en avoir à bord bien entendu, et même pour certains d'avoir de la nourriture à base de cet animal à bord
C'est une tradition maritime car cet animal, de longue date, est supposé (et c'est vrai bien sûr ) porter malheur

wikipédia: "Autrefois, les cargaisons des bateaux étaient saisies avec des cordages en chanvre. Des lapins qui par accident s'étaient échappés de leur cage, pouvaient donc les ronger, provoquant ainsi indirectement le naufrage du bateau par déplacement de la cargaison dans les cales provoquant une déstabilisation et la gîte. De plus, sur les bateaux en bois, le calfatage des planches de bordé se faisait avec de l'étoupe de chanvre que là aussi l'animal pouvait ronger amenant des voies d'eaux fatales au navire1.

Depuis, les lapins vivants sont bannis de tout voyage maritime. Le terme « lapin » est même, pour certains marins, interdit sur leurs navires. On parle à demi-mot de « pollop », de « l'animal aux longues oreilles », de « cousin du lièvre », de « zébro », de « coureur cycliste », voire de la « langoustine des prés ».

L'origine de cette superstition est aujourd'hui largement battue en brèche, en majeure partie par le fait que bien plus souvent que les lapins, c'était des rats qui rongeaient les amarres de l'avitaillement, or, le terme rat n'est absolument pas banni des bords."
C'est une superstition européenne, les chinois et les arabes, grands navigateurs, ne l'ont jamais eu
J.J. sur noppy

jpgbreton a écrit:

Un lapin sur un bateau ! Tu m'étonnes que tu n'arrives pas à communiquer ! Bon, si tu veux leur envoyer des conseils, tu peux utiliser leur adresse mail :

teamcm2stguenole.oceanvirtuel@laposte.net

Message transmis.

Merci jpgbreton
j étais au travail et je n'avais pas l'adresse.

Manu

A propos de Ste Hélène et son fameux résident.

Cà se corse pour nos petits loups de mer.


Manu

Effectivement ils sont plusieurs à être pris au piège.

Et en plus c'est le week-end. Coupure radio pendant deux jours. Ils n'auront pas vos messages avant lundi 9 h.
Les parrains! Les mousses sont livrés à eux-mêmes (commencez à ronger vos bouts ).
On comptera les points lundi.
Petit à petit, j'interviendrai de moins en moins moi-même sur leurs bateaux.

En attendant, c'est vrai que c'est lent.
Ils sont les premiers à être impatients que ça reparte à 20 nœuds. Vous auriez vu le sourire des violets en regardant leur vitesse et les autres dans le rétro.

Je sens d'ici Christophe (Galop1) et Gérard (Birdisland) plus sereins.

Pour le reste, super retour des verts et des rouges. C'est bon pour la compétition tout ça.

Bon week-end à tous.

Marc

Bonsoir les parrains

J'ai mis en place, pour un test, une rubrique "Radio des parrains" sur notre blog (colonne de gauche sous leur classement):

http://classecmecolesaintguenole.eklablog.com/


Ce canal est réservé aux situations "d'urgence" (OFI type île, continent, angle au vent de 0°, vitesse négative...).
A privilégier le week-end et aux vacances.
Composer des messages courts.
Je demande aux enfants de confirmer réception s'ils le veulent mais pas tellement plus (type "Piratemarron, reçu ou merci".
Cela restera une bouteille à la mer, reste au enfants à la repêcher.
On teste et on verra.

Marc

noppy a écrit:

jpgbreton a écrit:

Un lapin sur un bateau ! Tu m'étonnes que tu n'arrives pas à communiquer ! Bon, si tu veux leur envoyer des conseils, tu peux utiliser leur adresse mail :

teamcm2stguenole.oceanvirtuel@laposte.net

Il faut préciser pour nos pirates multicolores, que le "cousin du lièvre" est totalement interdit sur un bateau: pas le droit de prononcer son nom, d''en avoir à bord bien entendu, et même pour certains d'avoir de la nourriture à base de cet animal à bord
C'est une tradition maritime car cet animal, de longue date, est supposé  (et c'est vrai bien sûr ) porter malheur

wikipédia: "Autrefois, les cargaisons des bateaux étaient saisies avec des cordages en chanvre. Des lapins qui par accident s'étaient échappés de leur cage, pouvaient donc les ronger, provoquant ainsi indirectement le naufrage du bateau par déplacement de la cargaison dans les cales provoquant une déstabilisation et la gîte. De plus, sur les bateaux en bois, le calfatage des planches de bordé se faisait avec de l'étoupe de chanvre que là aussi l'animal pouvait ronger amenant des voies d'eaux fatales au navire1.

Depuis, les lapins vivants sont bannis de tout voyage maritime. Le terme « lapin » est même, pour certains marins, interdit sur leurs navires. On parle à demi-mot de « pollop », de « l'animal aux longues oreilles », de « cousin du lièvre », de « zébro », de « coureur cycliste », voire de la « langoustine des prés ».

L'origine de cette superstition est aujourd'hui largement battue en brèche, en majeure partie par le fait que bien plus souvent que les lapins, c'était des rats qui rongeaient les amarres de l'avitaillement, or, le terme rat n'est absolument pas banni des bords."
C'est une superstition européenne, les chinois et les arabes, grands navigateurs, ne l'ont jamais eu
J.J. sur noppy

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